Thursday, September 16, 2021

Le pays du nuage blanc (Trilogie Sarah Lark t. 1) Sarah Lark texte complet

Le pays du nuage blanc (Trilogie Sarah Lark t. 1)


Le pays du nuage blanc (Trilogie Sarah Lark t. 1) Sarah Lark texte complet - « La légende veut que les premiers Maoris arrivèrent en pirogue depuis la Polynésie. La première image qu'ils eurent de la Nouvelle-Zélande fut cette île enveloppée d'un long nuage blanc. D'où le nom qu'ils lui donnèrent. »

Londres, 1852. Helen, préceptrice de deux enfants dans une riche famille, répond à une annonce qui propose à des jeunes femmes de partir épouser des Britanniques installés en Nouvelle-Zélande.
Sur le bateau qui la mène à Christchurch, elle se lie avec Gwyneira, une jeune noble galloise qui immigre à cause des difficultés financières de son père.
L'amitié entre les deux femmes sera indéfectible malgré les épreuves, les désillusions et la haine, surtout, qui déchirera leurs deux familles. Mais elles auront la joie de voir leurs enfants s'unir et inventer une nouvelle vie, en osmose avec les autochtones et la nature.
Le Pays du nuage blanc, à la faune et à la flore hors du commun, est un personnage à part entière de cette « saga grandiose sur la colonisation de la Nouvelle-Zélande et la culture des Maoris. » (Der Spiegel)Rang parmi les ventes Amazon: #2364 dans eBooksPublié le: 2013-08-28Sorti le: 2013-08-28Format: Ebook KindlePrésentation de l'éditeur« La légende veut que les premiers Maoris arrivèrent en pirogue depuis la Polynésie. La première image qu'ils eurent de la Nouvelle-Zélande fut cette île enveloppée d'un long nuage blanc. D'où le nom qu'ils lui donnèrent. »Londres, 1852. Helen, préceptrice de deux enfants dans une riche famille, répond à une annonce qui propose à des jeunes femmes de partir épouser des Britanniques installés en Nouvelle-Zélande.Sur le bateau qui la mène à Christchurch, elle se lie avec Gwyneira, une jeune noble galloise qui immigre à cause des difficultés financières de son père.L'amitié entre les deux femmes sera indéfectible malgré les épreuves, les désillusions et la haine, surtout, qui déchirera leurs deux familles. Mais elles auront la joie de voir leurs enfants s'unir et inventer une nouvelle vie, en osmose avec les autochtones et la nature.Le Pays du nuage blanc, à la faune et à la flore hors du commun, est un personnage à part entière de cette « saga grandiose sur la colonisation de la Nouvelle-Zélande et la culture des Maoris. » (Der Spiegel)ExtraitÉglise anglicane de Christchurch (Nouvelle-Zélande) recherche jeunes femmes honorables, capables de tenir un ménage et d'éduquer des enfants, pour contracter mariage avec messieurs de notre paroisse, hommes aisés bénéficiant tous d'une réputation irréprochable. Le regard d'Hélène s'arrêta un bref instant sur la modeste annonce du bulletin paroissial qu'elle avait parcouru en diagonale pendant que ses élèves étaient absorbés par un exercice de grammaire. Elle aurait préféré lire un livre, mais William, par ses questions incessantes, l'empêchait de se concentrer. À l'instant encore, le garçon de onze ans releva sa tignasse brune. - Dans le troisième paragraphe, miss Davenport, est-il écrit qui ou que ? Hélène repoussa avec un soupir sa lecture et, pour la énième fois de la semaine, expliqua la différence entre la proposition relative et la subordonnée. Le fils cadet de Robert Greerrwood, son employeur, était un gentil garçon, mais pas une lumière. Il avait perpétuellement besoin d'aide, oubliait les explications plus vite qu'elle ne les donnait et n'avait qu'un talent : émouvoir les adultes en prenant un air désemparé et les faire fondre de sa douce voix de soprano. Sa mère, Lucinda, tombait chaque fois dans le panneau. Il suffisait au jeune garçon de se pelotonner contre elle et de lui proposer une occupation commune pour qu'elle annulât les heures de rattrapage imposées par Hélène. Aussi William ne savait-il toujours pas lire couramment, et la dictée la plus facile était pour lui un obstacle insurmontable. Le voir un jour entrer dans un établissement prestigieux, Eton ou Oxford, comme en rêvait son père, était exclu. Georges, le frère aîné de William, du haut de ses seize ans, ne se donna même pas la peine de faire semblant de comprendre. Levant les yeux au ciel d'un air entendu, il montra dans le cours un passage où figurait précisément, à titre d'exemple, la phrase sur laquelle William s'escrimait depuis une demi-heure. L'adolescent dégingandé, trop vite grandi, avait terminé sa version latine. Il travaillait rapidement, parfois au prix de quelques fautes ; les matières classiques l'ennuyaient. Rêvant de voyages dans des pays lointains et d'expéditions dans les nouveaux marchés coloniaux qui, sous le règne de la reine Victoria, s'ouvraient quasiment d'heure en heure, il avait hâte d'entrer un jour dans l'affaire d'import-export de son père. Il était sans conteste un commerçant-né. Il se montrait déjà habile à négocier, sachant déployer tout son charme à bon escient. Il parvenait à l'occasion à embobiner jusqu'à Hélène et à abréger les cours. Ce qu'il tenta ce même jour, William ayant enfin compris de quoi il retournait ou ayant du moins trouvé où copier la solution. Hélène voulut corriger le travail de Georges, mais celui-ci écarta son cahier d'un geste provocant. - Oh, miss Davenport, vous comptez réellement rabâcher tout ça ? La journée est trop belle ! Allons plutôt jouer au croquet... Vous devriez améliorer votre technique, sinon, lors de la prochaine garden-party, vous resterez dans votre coin et aucun des jeunes messieurs ne vous remarquera. Vous perdrez toute chance de jamais épouser un comte et devrez jusqu'à la fin de vos jours vous occuper de cas aussi désespérés que celui de Willy. Ayant jeté un coup d'oeil par la fenêtre, elle fronça les sourcils en apercevant des nuages sombres. - L'idée est tentante, Georges, mais la pluie menace. Avant que nous ayons tout rangé ici et que nous soyons sortis, les nuages se videront sur nos têtes et je risque alors de n'être guère attirante aux yeux de nobles messieurs. Au fait, d'où te vient l'idée que je pourrais avoir de telles pensées ?Présentation de l'éditeur« La légende veut que les premiers Maoris arrivèrent en pirogue depuis la Polynésie. La première image qu'ils eurent de la Nouvelle-Zélande fut cette île enveloppée d'un long nuage blanc. D'où le nom qu'ils lui donnèrent. »Londres, 1852. Helen, préceptrice de deux enfants dans une riche famille, répond à une annonce qui propose à des jeunes femmes de partir épouser des Britanniques installés en Nouvelle-Zélande.Sur le bateau qui la mène à Christchurch, elle se lie avec Gwyneira, une jeune noble galloise qui immigre à cause des difficultés financières de son père.L'amitié entre les deux femmes sera indéfectible malgré les épreuves, les désillusions et la haine, surtout, qui déchirera leurs deux familles. Mais elles auront la joie de voir leurs enfants s'unir et inventer une nouvelle vie, en osmose avec les autochtones et la nature.Le Pays du nuage blanc, à la faune et à la flore hors du commun, est un personnage à part entière de cette « saga grandiose sur la colonisation de la Nouvelle-Zélande et la culture des Maoris. » (Der Spiegel)

Book's Cover of Le pays du nuage blanc (Trilogie Sarah Lark t. 1)

Details of Le pays du nuage blanc (Trilogie Sarah Lark t. 1)

Le Titre Du LivreLe pays du nuage blanc (Trilogie Sarah Lark t. 1)
AuteurSarah Lark
Vendu parArchipel
Livres FormatEbook Kindle
Nombre de pages650 pages
EditeurArchipel
Nom de fichierle-pays-du-nuage-blanc-trilogie-sarah-lark-t-1.pdf
Télécharger

No comments:

Post a Comment